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Ma Premiere Fois avec un Mec

by Hornyralph


Cette histoire se passe pendant un été des annees 70, a l’époque des vacances, début aoút, à Paris. J’avais 21 ans, et j’étais un jeune timide, à lunettes, genre étudiant sérieux. J’avais déjà eu quelques aventures avec des nanas, donc je me considérais hétéro. J’avais néanmoins le sentiment, un peu confus, de ne pas être tout à fait indifférent aux hommes. Pendant cet été -la, j’étais parti en vacances en Grêce, en juillet, avec un groupe d’amis – mon copain Serge et deux nanas. Les nanas étaient également copines, l’une étant une de mes collêgues de travail. Nous sommes tous partis en bande, et nous avions fait du camping, les garçons dans une tente, les filles dans une autre. En Grêce nous avions visité les íles, et entre autres, Mykonos. C’est à Mykonos que j’ai vu pour la premiêre fois des garçons qui étaient ouvertement pédés, qui ne s’en cachaient pas, mais au contraire, se tenaient par la main en public, se mettaient à poil a la plage, s’embrassaient et se faisaient des câlins aux yeux de tout le monde. Ces choses se passaient surtout sur une jolie petite plage appelée Super Paradise. Cela m’a pas mal intéressé. J’ai commencé à regarder furtivement ces garçons et j’ai trouvé leur comportement troublant et excitant. Je me souviens, que les nuits, dans la tente que je partageais avec Serge, je faisais des rêves érotiques dans lesquels je revoyais les scênes de la plage aux pédés. Je me réveillais en bandant três fort et en regardant avec une certaine envie le corps musclé de mon copain. Mais je n’ai pas osé lui révéler mes sentiments, le sachant farouche hétéro. Les vacances terminées, je me retrouve à Paris pendant les canicules estivales. J’avais pris l’habitude de me promener tard le soir dans la ville vide, pour rentrer chez moi quand il faisait un peu plus frais. Lors de ces promenades, j’ai découvert que l’Esplanade des Invalides devenait, la nuit, un lieu de drague de garçons. Je suis passé par la plusieurs fois et j’ai vu comment cela se passait. Certains garçons restaient appuyés contre un arbre, en fumant et en regardant. Ils montraient leurs charmes : en général, un jean três étroit, délavé dans lequel la bosse de leur sexe était bien évidente. Leurs chemises étaient largement déboutonnées, mettant en évidence leur poitrine musclée. Ou bien un T-shirt três serre. D’autres hommes tournaient autour. De temps en temps une brêve conversation s’entamait. A la suite de ces conversations, des couples se formaient. Parfois ils allaient dans les bosquets bien touffus. D’autres partaient ailleurs ensemble. Timidement, mais résolument, je me suis mis à fréquenter, moi aussi, l’Esplanade des Invalides. Au bout de deux ou trois visites je suis devenu plus audacieux. Un soir, je me suis préparé pour l’aventure…j’ai pris un bain, je me suis parfume... j’ai choisi le slip le plus sexy que j’avais, noir et bien serré. J’ai enfilé un pantalon blanc três étroit. J’ai choisi un t-shirt noir assez serré. Je me suis regardé dans la glace avant de sortir et j’ai été content: mon torse muscle etait tres evident et mon sexe gonflait bien le pantalon serre. J’etais sexy pour attirer mon premier mec. En arrivant aux Invalides, je me suis promené un peu, il y avait relativement peu de monde. J’ai regardé les mecs, ils m’ont regardé. Je me suis appuyé contre un arbre, et j’ai attendu. Aprês quelques minutes, un homme d’une quarantaine d’années est passé. Il m’a souri. Comme il était assez bien et, plus important, il avait l’air propre et amical, j’ai répondu à son sourire. Il s’est approché et on a fait connaissance. Il s’appelait Jacques J. Il m’a demandé si je venais souvent aux Invalides. Je lui ai répondu que c’était seulement la deuxiême or troisiême fois que j’y étais. Il m’a expliqué ensuite qu’il avait en principe un rendez-vous mais il pensait que le garçon qu’il attendait lui avait posé un lapin. Il me demanda gentiment si je voulais faire un tour avec lui. Sa voiture étant stationnée à cóté, sur les quais de la Seine. J’ai accepté. Nous sommes allés trouver la voiture, nous sommes montés. La voiture était stationnée dans un coin assez obscur. On a continué à bavarder un moment…et aprês, dans l’obscurité j’ai senti sa main sur ma cuisse gauche. Il a commence à me masser doucement la cuisse, J’ai bandé et cela se voyait. Aprês quelques minutes, il me demanda ª montre moi ta queue ». J’étais três excité et j’avais envie de lui montre ma queue et plus encore. J’ouvris mon pantalon et ma queue est fiêrement sortie, car je bandais três fort. Il avança sa main, me caressa doucement la queue, me soupesa les couilles. ª Allons dans un endroit tranquille » dit-il et mit la voiture en marche… Nous sommes allés dans la direction de la tour Eiffel, en longeant les quais. Le quai Branly était un endroit favori des homosexuels de la capitale à cette époque. Arrivés au quai Branly, nous avons stationné et nous sommes restés un moment dans la voiture. Jacques remit la main sur ma cuisse, et me palpa la queue. Je fis de même et je sentis sa queue gonflée, épaisse dans son jean. La tension montait. Jacques parla : ª tiens, au fait, on serait mieux chez moi ». J’étais d’accord. Il démarra et nous remontâmes les quais en sens inverse. Il habitait dans un immeuble élégant, dans le VIIe. Apres avoir stationné, nous sommes montés, il ouvrit la porte. Son appartement était meublé avec beaucoup de goút. Dans l’entrée, il m’embrassa sur la bouche. Sa langue pénétra ma bouche et nous commençâmes à nous rouler des patins. Il me suça la langue, me lécha les lêvres, tout en me caressant le dos et les fesses. Ensuite il commença à me déshabiller. Il retira mon t-shirt et me caressa les pointes des seins, une caresse qui me rend fou de désir. J’enlevai sa chemise et je reniflai son parfum. Il ouvra ma braguette, j’ouvris la sienne. On continuait à s’embrasser furieusement. Nos queues étaient blotties, l’une contre l’autre. Quelle sensation formidable, sentir la queue dure de son amant contre la sienne. Nos jeans tombêrent par terre, nous avions gardes seulement nos slips. Jacques fit sortir sa queue et ses couilles de son slip pour les mettre dans le mien…ainsi nos queues et nos couilles étaient collées, serrées ensemble. Pendant ce temps nos deux boches étaient unies, nos langues se léchaient et tournaient sans cesse. Jacques retira nos slips. Nous étions a poil.En regardant mon sexe, il s’enthousiasma : ª elle est belle, ta queue ». Il m’embrassa três fort et d’une de ces mains il me serra un téton…sa bouche suçait sur l’autre téton… son autre main me caressait les fesses. Mes seins étaient três sensibles aux caresses et aux suçons et ma bite durcit encore plus. La main qui me palpait les fesses s’insinua dans ma raie et commença à chercher mon cul…un doigt commença a me pénétrer le cul en toute douceur. C’était divin et je pense que nous sommes restés comme cela un bon moment. Aprês Jacques me prit par la main et m’emmena vers le lit…Enlacés, nous sommes tombés sur le lit en continuant toutes ces caresses. Jacques me dit ª j’ai envie de te bouffer le cul ». Je me mis à quatre pattes et il se positionna derriêre moi. Je sentis ses mains fortes qui me palpaient les fesses, qui me les ouvraient et puis je sentis son souffle chaud dans ma raie…sa langue commença par me lécher la raie et puis, ayant trouve sa cible, se concentra sur mon trou. En même temps il me caressait les couilles et la queue. Au bout de quelques minutes Jacques se redressa et dit ª elle est belle ta chatte, mais tu ne dois pas te faire souvent enculer ». Il redoubla son ardeur. Sa langue s’insinua plusieurs fois dans mon cul. Aprês, il me retourna et me roula un patin. Je léchai, sur sa langue, le gout légêrement épicé et le parfum et de mon propre cul. Ensuite, Jacques porta son attention sur ma queue… ª Tu n’a jamais joui dans la bouche d’un mec ? » Dit-il, pensif. Je n’avais ose avouer que c’était la premiêre fois que j’étais au lit avec un mec…mais il l’avait deviné tout seul. J’étais étendu sur mon dos. Il commença par me lécher les couilles et tout d’un coup, avala ma queue. Ce que c’était bon !!! Seuls les mecs savent vraiment sucer une queue… Jacques me pompait la queue avec ardeur, en tenant mes couilles dans sa main et en effleurant de temps en temps mon cul de ses doigts. Je voulais faire durer le plaisir, mais j’étais trop excité. Je sentis mon jus monter et je déchargeai dans sa bouche. Il avala un bonne partie de mon sperme, mais aprês m’attira vers lui. Nous unímes nos bouches et nos langues et je goútai mon propre jus dans sa bouche. Ce fut un des plus grands orgasmes de ma vie. J’avais tout de suite envie de sucer aussi la queue de Jacques. Je l’ai pris dans ma bouche, j’ai léché sa queue, j’ai décalotté son gland et j’ai reniflé l’odeur de son sexe. J’ai pris sa bite dure dans ma bouche, j’ai léché son gland tout doux. Mais comme j’étais débutant, sans doute je ne savais pas faire… Jacques retira sa queue de ma bouche et commença à se branler..Aprês quelque moments, il éjacula sur mon visage et sur mes seins…. Nous nous embrassâmes en reniflant les odeurs de sexe, de sperme et de sueur fraiche. C’était ma premiêre fois au lit avec un mec.


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Ma Premiere Fois avec un Mec

Cette histoire se passe pendant un été des annees 70, a l’époque des vacances, début aoút, à Paris. J’avais 21 ans, et j’étais un jeune timide, à lunettes, genre étudiant sérieux. J’avais déjà eu quelques aventures avec des nanas, donc je me considérais hétéro. J’avais néanmoins le sentiment, un peu confus, de ne pas être tout à fait indifférent aux hommes. Pendant cet été -la, j’étais parti

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Web-02: vampire_2.1.0.01
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