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l'éjaculateur précoce

by Allemand


L’éjaculateur précoce ¨ 1999 Allemand allemand.9261@free.fr

Ce texte est et restera ma propriété ! Je ne vois pas d’inconvénient qu’il soit distribué … mais uniquement avec mon autorisation préalable. Je serais ravi d’avoir vos commentaires, positifs ou négatifs. Quand vous la lisez, souvenez-vous que le français n’est pas ma langue maternelle. Merci d’avance.

Introduction J’ai rencontre Benjamin dans une boíte à Paris à un moment oû j’étais en vacances dans la capitale. Une attirance mutuelle a fait que nous voulions nous revoir. Le tout, notre rencontre, mes voyages en France, la possibilité de faire mes études dans une faculté francophone, était compliqué parce que je parlais à peine le français. Ce qui était dróle en soi et dans la vie courante - confusion entre des mots à consonance similaire : draguer – dragée - était plutót gênant pour mes études. La décision de m’installer en France m’a pris presque 6 mois, le temps de me rendre compte que mon français s’améliorait rapidement et que j’étais quand même capable de suivre les cours à la fac. Cela ne serait pas facile, mais faisable. Benjamin, s’il était hétéro, serait un coureur de jupon ! Il était PD et courrait aprês tous les mecs qu’il croisait. Il aurait baisé une chêvre avec des bottes. Et malgré ses sentiments pour moi, il était clair pour nous deux qu’il n’allait pas changer de style de vie. Ce qui me convenait parfaitement bien. Il avait une vie sexuelle extrêmement active. Ses amants, il les appelait ’ses petits coups’, venaient chez lui pour se faire tirer et ensuite repartait, pas de sentiments engagés des deux cótés ce qui lui convenait bien. L’éjaculateur précoce Un des premiers mecs que j’ai connu chez Benjamin s’appelait Thibaut. Fils d’un industriel ayant fait fortune avec une chaíne de fast-food français, il n’avait jamais osé dire à son pêre qu’il était gay. Ayant donc une sexualité clandestine et n’osant, de surcroít, pas fréquenter les lieux de drague et les boítes de peur d’être reconnu, il avait développé un problême, l’éjaculation précoce. C’est d’ailleurs comme çà que Benjamin l’appelait, l’éjaculateur précoce. Le problême était gênant pour Thibaut et énervait Benjamin. Aprês leur derniêre rencontre, Benjamin et moi, nous ne connaissions pas encore, Benjamin avait entrepris quelques démarches pour savoir d’oû le problême pouvait venir et comment le résoudre. Le psychologue contacté avait indiqué qu’une sexualité réguliêre et pas trop espacée serait le meilleur traitement. Le jour oû Thibaut était venu la premiêre fois, nous trois avions parlé assez librement, disant plutót Benjamin m’avait tout expliqué en détail – devant Thibaut. Lui, s’il avait pu disparaítre dans un trou de souris, il aurait fait sans aucune hésitation, tellement il était gêné. Son érection se voyait pourtant à travers son pantalon. Mais apparemment son amour propre ce jour était encore plus fort que son envie de baiser puisqu’il est parti sans être passé par la chambre. Aprês son départ, Benjamin me faisait part du plan, concocté depuis quelques semaines, pour la prochaine visite de Thibaut. *** Quelques jours plus tard Thibaut appelait pour se renseigner auprês de Benjamin sur mes dispositions pour coucher avec lui. Le lendemain, il sonnait à la porte. Invité à entrer, il s’installait dans le salon, je descendais acheter des petits fours et Benjamin préparait le café. Quand je remontais, le salon était vide, en revanche j’entendais du bruit dans la chambre. Les deux lascars étaient déjà à poil sur le lit. Pendant un moment, je les regardais, surtout Thibaut que je n’avais jamais vu nu. Il avait 3 ou 4 ans de plus que moi ce que lui faisait dans les 25 ans. Pas três grand, quelques poils sur la poitrine, mais les jambes et le cul assez velus. Ses poils et ses cheveux étaient blonds tirant sur le marrant. Sa peau avait encore un hâle, témoignant un bronzage de l’année derniêre. Bâti solidement, il faisait pas mal de sport. Sa queue n’était pas droite comme la mienne ou celle de Benjamin, mais avait une légêre courbe avec un gland pointant vers le nombril. La taille était dans la moyenne. Apparemment, il coupait ses poils pubiens puisqu’ils étaient assez courts. Les couilles pendaient bas et étaient assez poilues. Ils avaient interrompu leur baiser lors de mon entrée dans la chambre. Invité à les rejoindre, je commençais un petit strip-tease pour bien les aguicher et faire monter un peu la tension sexuelle que l’on sentait déjà. Arrivé sur le lit, j’embrassais d’abord Benjamin puis Thibaut. Vu que le baiser avec Thibault durait, Benjamin se tournait et commençait à me caresser le sexe et le cul. Mes mains courraient sur le corps de Thibaut pour l’explorer. Puis, je m’installais confortablement pour permettre à Thibault de me découvrir. Je sentais ses mains sur ma poitrine en insistant sur les tétons. Puis elles descendaient plus bas pour caresser ma queue. Pendant ce temps, Benjamin s’était occupé de la queue de Thibault. Répondant exactement aux attentes de Benjamin, Thibault haletait déjà d’excitation. Et quand je rejoignais Benjamin pour m’occuper de ses couilles et laissais mes mains s’occuper de sa chute des reins, il ne tenait plus. A peine quelques minutes plus tard, il jouissait. Comme d’habitude, son orgasme n’était pas particuliêrement fort. ª Tu sais ce que je t’ai dit la derniêre fois, non ? » Benjamin disait à Thibault. Rougissant légêrement de gêne, et certainement aussi d’appréhension, celui-ci hochait la tête. ª Tu ne bouges pas du lit » Benjamin me disait en se levant et quittait la chambre. ª Tiens le bien » me lançait-il en revenant. Là, Thibault commençait à s’agiter. Il avait vu les menottes dans les mains de Benjamin. Mais, il ne se débattait que pour la forme. De force à peu prês égale, j’aurais eu beaucoup plus de problêmes s’il s’était débattu sérieusement. En conséquence, il ne nous a posé aucun problême pour l’attacher aux quatre coins du lit avec les menottes aux mains et des laniêres aux pieds. Thibault solidement attaché, Benjamin et moi sommes retournés dans le salon pour prendre un café. Une demi-heure plus tard, on entendait Thibault ª Alex. Alex, viens me voir ! » Ouvrant la porte de la chambre, je lui disais de se taire. ª Alex, allez, ne sois pas vache, détaches-moi ! » ª Pourquoi ? Cela ne te plaít pas ? T’avais pourtant dit à Benjamin que c’était un de tes fantasmes, non ? » ª Oui, c’est vrai, mais pas de rester attacher tout seul dans une chambre qui n’est pas la mienne, sans pouvoir m’occuper. » ª C’est pourtant exactement le but du jeu » je lui répondais ª être tout seul et sans occupation particuliêre, si ce n’est que tes pensées. Et à voir ta queue, tes pensées, je les connais aussi. Tu bandes dur comme un turc ! ! ! » Sur cela, je refermais la porte de la chambre. Toujours à poils, je me suis approché de Benjamin pour le caresser. Et chaud lapin comme il était, il rentrait dans mon jeu. Il happait mon érection qui s’était développée au vu de la beauté attachée dans la chambre. ª Oui, Benjamin, suces-moi ». Mes mains s’acharnaient sur ses tétons. Caressant, pinçant, tirant. Je savais que Benjamin aimait le sex hard. Malgré ma queue dans sa bouche, il gémissait fortement de plaisirs. ª Eh, que faites-vous ? Ne me laissez pas tout seul ici. » on entendait de la chambre. Forcément, il avait entendu les râles de Benjamin. ª Viens » je lui disais ª on va se faire plaisir ! Vas me chercher des glaçons dans la cuisine et rejoins-moi dans la chambre ! » Pendant que Benjamin s’affairait dans la cuisine, moi, j’entrais dans la chambre et commençais à assembler nos sex toys en prenant soins de me tenir de façon à ce que Thibault ne voie rien. Quand Benjamin entrait dans la chambre, je le faisais s’asseoir sur le lit. Thibault bandait toujours ! ª Ok, on va s’occuper de toi maintenant. » lui disais-je. Apparemment mon choix de mots ne lui plaisait guêre. Il clignait un peu avec les yeux et ne pouvait me regarder en face. ª Mets des glaçons autour de sa queue » j’instruisais Benjamin en posant moi-même une poignée sur les poils pubiens de Thibault. Celui-ci sursautait au contact de la glace avec sa peau moite de chaleur et d’excitation. Bientót toute sa queue, sauf le gland, avait disparue sous un amas de glaçons. Et le gland commençait à disparaítre aussi. Il débandait. Benjamin lui saisissait les couilles et les tirait. Attrapant un ball-stretcher, il le fixait autour des couilles. Thibault rebandait. Et nous avons quitté la chambre pour terminer notre café. Au retour, le gland de Thibault avait également disparu sous les glaçons. ª Allez, enlêves la glace et mets-lui un cock-ring. » Benjamin s’exécutait. Vicieux comme il était, il n'a pas pris un cock-ring normal, mais lui mettait une laniêre en cuir autour de la base de la queue. Un petit coup sec qui faisait hurler de surprise Thibault, il faisait un nœud. ª Que faites-vous ? Allez foutez-moi la paix, détachez-moi et laissez-moi partir. » Thibault gémissait. Sa queue pourtant indiquait clairement le contraire. Du liquide pré séminal sortait du gland tellement il était excité. La laniêre a été installée vraiment au bon moment, quelques minutes plus tard et il aurait encore joui. Benjamin et moi, on s’embrassait. On se caressait assis sur le lit. Je descendais vers ses tétons pour les sucer. Benjamin lui plongeait ses mains vers ma queue, encerclait mes couilles avec une main et les roulait avec l’autre. Je lui mordillais les tétons, doucement d’abord puis de plus en plus fort. Il gémissait doucement. Sa queue bougeait avec chaque battement de son cœur. Thibault regardait les yeux grand ouverts. Je saisissais un pair de pince à tétons et les installais sur le téton gauche de Benjamin d’abord, ensuite sur celui de droite. Il adorait çà. Prenant la chaíne qui liait les deux pinces entre les dents, je le caressais avec ma langue la chaíne se tendant au fur et à mesure de ma descente vers le nombril. ª Oui, vas-y, donnes de petits coups sur la chaíne ! » Benjamin gémissait de plaisir. ª Toi, occupes-toi de Thibault et laisses-moi faire. » Benjamin lâchait mes couilles pour saisir celles de Thibault pour les rouler entre ses doigts. Moi, je lâchais la chaíne et descendais d’un seul coup vers la queue de Benjamin et l’avalais. Mes mains glissaient sous les fesses de Benjamin et commençaient à explorer la fente qui les séparait. J’effleurais son trou doucement. Thibault et Benjamin gémissaient sous les manipulations qu’ils recevaient. ª Bon » disais-je quelques minutes plus tard ª et si on commençait à s’occuper un peu plus intensément de notre ami Thibault ! » ª Continues à t’occuper de ses couilles et de sa queue. Je ne pense pas qu’il puisse jouir si tu as assez serré la laniêre, mais fais attention quand même ! » Avec ces paroles, j’ai pris un autre pair de pinces, identique à celles que j’avais mises sur Benjamin. Caressant et tirant un peu sur les tétons de Thibault, je les installais l’une aprês l’autre. Le petit salaud appréciait énormément ce que nous étions en train de lui faire. Attaché depuis plus d’une heure, sous stimulation sexuelle réguliêre soit, mais espacé dans le temps, sans pouvoir jouir, c’était une nouvelle expérience pour lui. Il gémissait de plaisir. ª Maintenant, on va lui détacher les jambes pour les attacher en haut du lit. Il est temps que l’on s’occupe de son cul ! . » me lançait Benjamin. Aussitót dit, aussitót fait, Thibault se trouvait plié en deux avec les fesses três écartées et sa queue et ses couilles exposées. ª Quelle jolie vue ! ! » me disais-je en plongeant dans l’entre fesse. Je m’appliquais à lui faire la fleur des roses. Doucement d’abord sans le pénétrer, ma langue circulait autour de son trou du cul. J’augmentais la pression doucement et finalement son sphincter faiblissait sous mon assaut. Ma langue le pénétrait. Benjamin entre temps avait préparé un godemiché. Un petit godemiché. Nous n’avions aucune intention de lui faire mal, au moins pas de lui faire três mal. Il lui posait le gode sur la poitrine. ª Je vais adorer te mettre cela » Benjamin lui disait en pointant le gode ª depuis le temps que j’aie envie de te baiser et avec tes éjaculations précoces, je n'ai jamais eu le temps ! ! ! » Thibault regardait un peu anxieux quand même ª non, ne fais pas çà, j’ai pas l’habitude de me faire baiser ! » ª Tu n’es quand même pas vierge, hein ? » Benjamin s’est enquis tranquillement en train de donner des petits coups sur la chaíne des pinces, la sienne et celle de Thibault. Thibault ne répondait pas. ª Allez viens Benjamin, il est prêt ! » lui disais-je. Benjamin venait me rejoindre sur le pied du lit. Il caressait l’entre fesses de Thibault et faisait pénétrer un doigt. ª Ah non, pas vierge, mais pas franchement habitué non plus » me disait-il. Le sphincter brillait un peu avec la salive que j’avais mise. Benjamin prenait le gode et le faisait glisser dans la fonte ouverte. ª T’aimes çà, hein ? Allez, réponds-nous, t’aimes çà, te faire tripoter le cul, les tétons pincées et sans pouvoir jouir, non ? » Thibault gémissait en réponse. Sa queue bougeait légêrement. Elle était de plus en plus foncée et le gland de plus en plus pourpre. Un moment d’inattention de la part de Thibault et Benjamin lui enfonçait le petit gode d’un mouvement jusqu’au fond. Le sphincter avait cédé sans aucun problême. Thibault hurlait. De plaisir, de peur, de douleur ? ª Nous saurions plus tard’ je me disais. Et Benjamin commençait les mouvements avec le gode. ª Tu veux jouir Thibault ? » Thibault secouait la tête. ª Continues de me baiser, c’est bon. » J’avais attrapé la chaíne avec une main et tirais légêrement pendant que l’autre main caressait ses couilles. Il gémissait de plus en plus fort. ª Allez, baises-moi, Benjamin. Alex suces-moi ! » ª Ah non, pas si vite » était notre réponse ª on veut te baiser et pour cela, il faut bien t’ouvrir et te détendre. Le gode que tu as dans le cul est plus petit que nos queues … » Je commençais à préparer un autre gode, noir, qui était un peu plus grand que ma queue. Je le tendais à Benjamin qui le prenait. Récupérant le petit gode, je le relubrifiais. Benjamin positionnait le gode noir sur l’anus de Thibault et poussait doucement. Cette fois-ci également, il entrait sans problême. Benjamin poussait le gode à fond et le maintenait dans cette position. Entre temps, je m’étais glissé derriêre Benjamin pour le rimer. Ayant bien lubrifié son cul, j’enfonçais doucement le petit gode dans le cul de Benjamin d’un mouvement. ª Oui, vas-y, mets-le à fond ! » gémissait-il. ª Oui, oui, bouges mon gode aussi. » renchérissait Thibault. On commençait à développer un bon rythme. Je limais Benjamin et Benjamin limait Thibault. Nos mouvements s’accéléraient. ª Ne jouis pas, Benjamin ! » lui disais-je. Au bout de quelques minutes, il m’arrêtait ª tu me ferais jouir si tu continues ! ». Je ressortais alors le gode et préparais un butt-plug de la même taille. ª Attention, Benjamin » et sur çà j’enfonçais le plug. Ayant les mains libres, je m’écartais de Benjamin et, faisant le tour du lit, saisissais la queue de Thibault. Je me penchais sur lui et l’embrassais. Sa langue sortait avidement de sa bouche pour pénétrer dans la mienne. ª Je veux qu’il me baise » me chuchotait-il dans l’oreille. ª Dis-le-lui toi-même, il sera ravi ! » ª Allez Benjamin, Je veux que tu sortes le gode et que tu mets ta queue. Et je veux sucer Alex. » Entendant cela, je me tournais pour lui permettre l’accês à ma queue. Il la léchait puis l’engloutissait. Je happais sa queue à lui. Benjamin avait lâché le gode et commençait à défaire les laniêres qui maintenaient en place les jambes de Thibault pour me permettre un accês plus aisé. Et, aprês quelques minutes de réflexion, défaisaient également les menottes. Aussitót Thibault m’encerclait avec ses bras pour m’attirer plus profondément dans sa bouche. Ses mains me caressaient les fesses et exploraient mes profondeurs. Un doigt, préalablement lubrifié, pénétrait mon trou. ª Tu veux me baiser Thibault ? » lui demandais-je. ª Oh oui ! ». Je me lubrifiais et me détendais en passant un puis deux doigts d’abord autour puis dans mon cul. Ensuite je me positionnais au-dessus de la queue que Benjamin pointait vers le haut. ª Engorgé comme elle est, ce sera une belle expérience » je disais. Et sur çà, je me laissais descendre jusqu’à ce que le gland touche mon sphincter. Et là, d’un seul coup, Thibault m’empalait. Ne m’y attendant pas du tout, je poussais un cri de douleur et m’équilibrais sur sa poitrine en tirant assez fortement sur les pinces en même temps. Thibault ne bougeait plus. Benjamin saisissait l’occasion pour le pénétrer d’un seul coup. Ensuite, pour me venger, il lui tirait assez fortement sur les couilles qui étaient toujours maintenu dans le stretcher. Cette fois, c’est Thibault qui hurlait, mais de douleur. La queue engorgée dans mon cul bougeait et vibrait beaucoup. La sensation était três plaisante. ª Allez Thibault, baises-moi maintenant. Et les deux commençait en même temps. Aprês quelques minutes, nos mouvements étaient coordonnés. Je sentais la jouissance monter. ª Allez Benjamin, enlêve-lui la laniêre pour qu’il puisse jouir aussi. » Et Benjamin commençait à défaire la laniêre ce qui n’était pas chose aisé puisque Thibault n’arrêtait pas de me baiser. Mais finalement, la laniêre lâchait. Benjamin reprenait ses activités dans le cul de Thibault. Et nous étions en route vers les sommets. Excités comme nous l’étions, cela n’allait pas durer três longtemps avant que nous commencions à jouir. Benjamin était le premier. Je sentais plusieurs coups plus prononcés et je l’entendais respirer plus profondément. Et encore un coup três profond et il hurlait de plaisir. ª Oh, je jouis, Alex, je jouis, Thibault tu me sens ? » Ces paroles et les mouvements plus violents de Benjamin déclenchaient la jouissance de Thibault. L’orgasme le frappait d’une violence rarement vue. Tout son corps faisait des bonds sur le lit tellement ses muscles se contractaient et décontractaient. Et du même coup, il me pénétrait de plus en plus violemment et profondément. C’était ses derniers mouvements qui m’aidaient à déclencher ma propre jouissance. J’avais commencé à me branler doucement pour soutenir l’ascension vers la jouissance, mais c’est la queue engorgée de Thibault et ses derniers coups violent qui la déclenchaient. Nous sommes tombés sur le lit hors d’haleine. Personne ne pouvait bouger. Au bout d’un quart d’heure, je commençais à caresser doucement mes deux amants. Mais ce n’est que bien aprês que nous avons trouvé la force, le courage et l’envie de nous lever. *** Thibault a passé la nuit avec nous, mais nous étions tous trop exténués pour vouloir entreprendre quoi que ce soit. Il est parti le lendemain matin. Nous l’avons revu réguliêrement deux fois à trois fois par semaine, quelques fois même avec un de ses copains à lui. Ses soirées étaient assez mémorables, mais aucune ne valait cette premiêre soirée ensemble. Le sex régulier a effectivement fait son effet, mais lentement. Aprês plusieurs semaines, ses visites commençaient à s’espacer. Il nous expliquait qu’il avait trouvé un amant et qu’il était três amoureux. Il était également en train de préparer sa famille pour son coming-out.

Fin


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