Dans le train Dans le train Fantasmes dans le train Lautre soir tard, en revenant de Paris par TGV, je me plonge dans la lecture de mon bouquin. le mec à côté de moi sest endormi. Dans son sommeil, il écarte les jambes, sa cuisse touche la mienne. Un peu gêné, je lui jette un regard. Décidément, quel sans gêne ! Mais aussi, quel mec ! Jeune, pas plus de 19 ans, bien foutu, les traits fins et virils en même temps. Une petite boucle en or à son oreille droite accentue sa sensualité. Son jean paraît bien rempli Je commence à trouver la situation intéressante. Dans son sommeil, il doit sûrement imaginer de tas de choses excitantes car je maperçois que son paquet prend une forme plus imposante. Pas de doute, il bande ! Fasciné par cette vision, je me sens à mon tour envahi dune douce chaleur. Mon pantalon, assez lâche, ne cache pas mon excitation Ma main posée sur mon genou, est à moitié coincée par sa jambe. Tout à mes fantasmes, je ne me rend pas compte que mon voisin sest réveillé. Soudain, je le vois poser sa main sur son sexe et commencer à se caresser, écartant les jambes afin dêtre plus à laise dans ses mouvements. La pression sur ma cuisse se fait plus insistante. Jai une trique denfer Il se lève alors, passe devant moi en frôlant mon visage de son bas-ventre et se dirige vers le bout du wagon. Une minute plus tard, je me lève pour le rejoindre. Il na pas verrouillé la porte. Jentre. Il est assis sur le lavabo, sa chemise entièrement déboutonnée. Son torse musclé est imberbe, une chaîne en or autour de son cou fait ressortir son bronzage. Gaël A peine la porte refermée, il prend ma main et la pose sur son jean à moitié usé. Jarrive pas à y croire : sa queue lui arrive à mi-cuisse et son diamètre est en proportion ! Tout en le caressant au travers de la toile fine, je défais un à un les boutons de son jean. Il se soulève légèrement pour me permettre de baisser son pantalon. Subjugué, je vois sa queue libérée qui se dresse, impressionnante. A peine ai-je besoin de me pencher pour lhonorer de mes caresses. Ma main enserre la colonne de chair turgescente et entame un lent va-et-vient, découvrant un gland bien décalotté et appétissant. En même temps, je lèche son bout avec ma langue. « Ouiii ! Cest bon ! Tu es doué, jen étais sûr ! Hum Suce ma bitte comme ça Avale ma queue ! Avec mes lèvres, je caresse sa queue tout du long, très excité par lodeur de mâle qui sen dégage. Je descend jusquà ses couilles poilues, grosses et durcies par lenvie. Une à une, je les gobe en les massant avec ma langue, ma main toujours occupée à masser sa pine. Je remonte lentement et dun coup avale le gland et commence à sucer ce bel engin. Jen ai plein la bouche. Je narrive pas à lavaler en entier. En même temps, je défais mon pantalon. Je suis en string et la vue de mon petit cul ferme et lisse arrache un sifflement admiratif à mon partenaire. « Putain, quel beau cul ! Hyper-bandant Viens là que je tencule Sans même répondre, je me relève et avec son aide, je monte sur le lavabo, un pied de chaque côté de son corps. Soutenu par ses mains larges et puissantes, je maccroupis sur sa queue. Son gland bien lubrifié se trouve au niveau de mon anus. Dun mouvement lent et continu, je mempale sur sa queue en érection, jusquà sentir sa bitte me remplir complètement. Tout en remuant mes fesses autour de la base de son sexe, je lui lèche le torse en caressant ses épaules. Le contact de son torse musclé et lisse sur mon corps mélectrise. Lorsque mon cul sanime dun lent mouvement le long de sa bitte, ma queue et mes couilles frottent contre son ventre. Je vois son regard se troubler, son corps se crispe, il menlace fermement et me donne de grands coups de reins. Léchauffement de sa queue dans mon cul saccentue, je sens une onde de plaisir menvahir Soudain, dans un râle, il lâche sa purée dans moi. Les spasmes de sa queue et la chaleur de son sperme déclenche en moi une réaction en chaîne. Je jouis à longs traits sur son ventre plat. Épuisés, nous restons un long moment enlacés, sa bitte ferme encore dans moi. « Putain ! Ca fait du bien ! Jétais en perm chez mes parents depuis 8 jours et depuis 8 jours, jai pas baisé ! « Tu fais ton service ? « Oui. Je suis dans une caserne du côté de Dinan. Jai hâte de retrouver mes copains. On est trois dans ma piaule et cest pas triste Yen a un qua 18 ans, vachement mignon et très salope. Ca fait deux mois quon passe des nuits plutôt agitées « Tous les trois ? « Ouais. La dernière fois, on sest enfilé le ptit mec deux fois chacun. Jte dis pas létat de son cul après ça Ca glissait super bien. Et il en redemandait. Déchaîné, quil était. Ça giclait de tous les côtés. Au fur et à mesure quil parlait, excité par son histoire, je remuais doucement mon cul. Sa bitte se raidissait dans mon corps, telle une colonne de chair lourde, chaude et vivante. « Hum ! Comme salope, tes pas mal non plus. « Ton gourdin mexcite beaucoup. Tu sais ten servir. « Ouais. Jai encore la trique. « Jla sens bien ta queue chaude. Putain, qucest bon dse faire enculer « Taime ça, hein, te faire piner par un jeune mec ? « Jadore ça. A ce moment retentit le message annonçant larrivée du train en gare de Rennes. Rapidement, je me détache de mon amant, me rhabille et sort discrètement du réduit. Peu après que jai regagné ma place, il me rejoint et, avec un clin doeil, me dit : « Je me sens mieux, pas toi ? « Si, cétait super. Au fait, cest quoi ton prénom ? Moi cest Christophe. « Gaël. Tas pas envie de prendre un pot ? « Si, bien sûr. « Je temmène dans un bar sympa dans le centre. Le bar Vers 11h, on se retrouve autour dune petite table dans un coin du troquet. Que des mecs ! Lambiance est plutôt chaude A côté de nous, deux jeunes étudiants enlacés se caressent sans pudeur. A côté de moi, Gaël les lorgne sans vergogne « Ils sembêtent pas, ces deux là « Ouais. Ca na lair de gêner personne. « Bof, tu sais, cest rien à côté de ce que jai déjà vu dans ce bar une fois vers 1h du mat. Carrément une partouze Excité par les deux mecs, je me colle contre lui et commence à le caresser avec discrétion. La lumière tamisée et le bruit ambiant font que mon manège passe pratiquement inaperçu Au bout de quelques minutes, Gaël est dans un tel état dexcitation quil me chuchote à loreille : « Jai envie de baiser à nouveau, pas toi ? « Si ! Tu mfais bander. Jai envie de ta queue. Gaël se lève, sa queue raide particulièrement visible témoigne de son envie. Je le suis dans une pièce à peine éclairée au fond du bar. Malgré la pénombre, on aperçoit des corps plus ou moins dévêtus enchevêtrés sur le sol ainsi que sur les bancs installés le long des murs. Gaël sassoit sur une banquette et mentraîne à son côté. Bien quabsorbé par notre étreinte, jentends des soupirs et des râles particulièrement évocateurs de lactivité qui règne autour de nous. Fébrilement, nous ôtons nos vêtements et nous nous frottons lun contre lautre. Je sens sa queue cogner contre mon ventre, ses couilles sur les miennes. Dans le feu de laction, je ne métonne pas quand plusieurs corps viennent se mêler à nos ébats. Des mains chaudes viennent me caresser les jambes, les fesses, le sexe. Une langue humide et agile vient me lécher la raie des fesses. Je sens soudain un corps qui se colle contre mon dos, un objet dur sintroduit entre mes fesses et commence à me travailler la rondelle. Une queue raide, tenue par les mains de Gaël se présente devant ma bouche. Je lavale. Gaël se met à son tour à la hauteur de ce sexe et, tous les deux, nous le suçons. Le mec derrière moi me lime le cul, jouit et se retire. Aussitôt, je sens un autre sexe sintroduire dans mon anus. Sa taille est impressionnante. Il me pénètre dun coup et entame un va-et-vient lent et régulier. De ses mains puissantes, il tient mon bassin fermement, me soumettant ainsi à son contrôle. Régulièrement, je sens quil se retire complètement pour me forcer à nouveau et me pénétrer entièrement, son ventre venant se plaquer sur mes fesses. Son manège interminable fait monter mon excitation. Mes mains caressent la verge gonflée que Gaël et moi suçons avec ardeur. Le type se met soudain à gicler sur nos deux visages. Gaël se met à me lécher, puis il se relève. Je le vois sapprocher dun jeune mec entièrement rasé, à quatre pattes en train davaler une bitte. Il pose sa queue contre son anus offert et, dun coup, lencule à fond. La vue de cette sodomie brutale libère en moi une frénésie orgiaque. Je me colle contre le bas-ventre du mec qui me lime toujours avec le même rythme lent et régulier. Sa queue semble avoir pris des proportions gigantesques et chaque aller-retour provoque dans mon cul une onde de chaleur plus intense. Je lentend pousser à chaque coup un râle de plaisir. Soudain, ses coups de boutoir se font plus rapides. Il se met à gémir de plus en plus fort lorsque, dans un ultime coup de reins, il éjacule son foutre chaud. Une onde de plaisir menvahit alors, me faisant jouir à mon tour.
Dans le train Dans le train Fantasmes dans le train Lautre soir tard, en revenant de Paris par TGV, je me plonge dans la lecture de mon bouquin. le mec à côté de moi sest endormi. Dans son sommeil, il écarte les jambes, sa cuisse touche la mienne. Un peu gêné, je lui jette
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