Gay Erotic Stories

MenOnTheNet.com

François et mon orgueil

by Marc


J'ai commencé l'université en 1993 EH oui ! Je devais quitter mon petit village pour venir m'installer à Montréal. Ce n'est pas que la grande ville me faisait peur comme telle, mais je n'y connaissais personne. Je devais me trouver un appartementement en vitesse, bref me construire une petite vie en quelques jours avant que ne commencent les cours. Et c'est ce que j'ai fait les premiers jours. Je suis allé voir les différents babillards à l'université pour voir si quelqu'un cherchait un colocataireataire. Des annonces, il y en avait mais la plupart dataient du mois de juillet et elles n'étaient plus valables. J'ai tout de même téléphoné a quelques adresses, mais rien ne me convenait. Je ne voulais quand même pas me retrouver avec des gens qui n'avaient pas trop d'allure ou dans un appartementement inhabitable. C'est alors que j'ai décidé de me promener dans le quartier de l'université pour voir s'il n'y avait pas des affiches ou autre chose qui demanderaient ce que je voulais. Ce n'a pas été long avant d'en trouver, mais encore une fois, est-ce que ça me plairait vraiment ? Vous voyez, je suis très difficile ! Je n'aime pas avoir à supporter des gens qui me tapent sur les nerfs... en plus que là ils passeraient tout leur temps dans mon appartementement. Je suis donc retourné bredouille à l'université et je me suis replanté devant les petites annonces du babillard pour voir si un miracle s'était produit et qu'une nouvelle annonce s'était ajoutée aux autres. Mais non ! Je suis donc allé m'asseoir non loin de là pour manger un peu. Tout en mangeant mon sandwich, j'ai vu un gars se diriger vers mon babillard avec une affiche. J'ai attendu qu'il soit parti et je suis allé voir son affiche. Elle disait : "Étudiant en médecine sérieux mais qui aime avoir du fun cherche un colocataireataire sérieux comme lui, tranquille et si possible, venant de l'extérieur de Montréal. Laissez un message sur le répondeur." J'ai noté le numéro et je me suis dirigé vers le téléphone le plus près. Le gars que j'avais vu de loin semblait bien correct, même si je sais qu'on ne doit pas se fier aux apparences. Alors j'ai composé son numéro et comme prévu, c'était le répondeur qui m'a répondu. -Bonjour, mon nom est Marc et je viens de voir ton annonce sur le babillard de l'université. Elle m'intéresse. Je viens d'un petit village et je ne connais encore personne à Montréal. J'aimerais bien voir ton appartementement si c'est possi......... Le téléphone décrocha et une voix toute essoufflée me parlait. J'en ai donc conclu que l'appartementement ne devait pas être très loin de l'université. Cela ne faisait pas 5 minutes qu'il avait mis son annonce. "Tu as fait vite, je viens tout juste de poser mon annonce !" me dit-il. -Ouais ! Je t'ai vu la poser et comme je ne voulais pas que le tapis me glisse sous les pieds j'ai décidé de téléphoner tout de suite. -Alors tu me disais que tu aimerais bien voir mon logement ? -Oui c'est ça, j'aimerais bien. Alors il m'a donné l'adresse et je me suis empressé dy aller. Arrivé devant, j'ai vu un immense duplex et l'adresse qu'il m'avait donnée indiquait le 2e étages. À première vue, j'étais emballé par l'architecture de l'immeuble, mais je me suis dit que toutes les fois lorsque un bâtiment est superbe, les prix sont exorbitants. Alors je sonnai. Le garçon qui avait posé l'annonce vint me répondre. J'étais bien au bon endroit. Nous nous sommes présentés. Il s'appelait François. Cheveux courts, bruns, yeux bruns très foncés, barbe qui semblait plutôt forte, il me serrait la main avec beaucoup de force. Même avec mon esprit d'hétéro, ses yeux me faisaient chavirer. Il avait un charisme incroyable. Il me faisait visiter. C'était un 7 pièces, toutes grandes. Juste à voir ça je voyais déjà l'appartement me glisser entre les doigts faute d'argent. Je trouvais vraiment que c'était l'appartement parfait. Après la courte visite, il m'a offert à boire et nous avons jasé dans le salon pendant une bonne heure. Il me disait qu'il ne voulait pas d'un colocataire pour que ça lui coûte moins cher car ses parents payaient tout ce dont il avait besoin, mais seulement pour se désennuyer car lui aussi venait d'ailleurs et ne connaissait pas beaucoup de gens à Montréal. Il me dit ce qu'il attendait d'un colocataire, et moi ce que j'attendais. Nous nous sommes rendus compte que nous recherchions la même chose. Quelqu'un qui est ici pour étudier, qui aime quand même faire la fête une fois de temps en temps, qui fait ses petites affaires tranquilles... Je doutais toujours du prix que j'aurais à payer. Je lui en fis part et il me demanda combien j'étais prêt à payer et que mon prix serait le sien. J'étais tellement soulagé, vous ne pouvez pas savoir ! Il voulait tout de même réfléchir et rencontrer d'autres gens. Je devais le contacter deux jours plus tard pour savoir si j'étais pris. J'en ai profité pour visiter la ville. Finalement je lui téléphonai d'un resto et il m'annonça que j'étais l'heureux élu ! Je sautais de joie ! J'allais emménager le soir même. Il m'aida à entrer mes meubles et toutes mes caisses et Dieu sait que j'en avais ! Nous avons terminé très tard d'installer mes affaires. Je me suis rendu compte que nous allions très bien nous entendre, lui et moi. J'aimais beaucoup parler avec lui. Les premières semaines ont passé assez vite. Nous nous sommes adaptés l'un à l'autre. Nous avons créé une petite routine bien à nous et les cours allaient bien. Nous nous entendions à merveille. Nous étions très complices. Je crois que je n'avais jamais eu un ami dont je me sentais aussi proche. Nous allions à nos cours le jour, et le soir nous soupions ensemble dans la cuisine. C'était sacré. Examen ou pas, nous devions prendre un peu de temps pour nous et c'est de cette manière que nous le faisions, en prenant un bon souper. Il me semble qu'avec lui la communication passait très bien. Nous avions aussi la manie de nous toucher. Par exemple, lorsque nous écoutions un film nous nous accotions l'un sur l'autre comme si de rien n'était. C'était normal. Lorsqu'on passait l'un près de l'autre nous nous mettions la main sur l'épaule ou à la taille. Nous avions une complicité psychologique mais également physique. Par contre, nous agissions comme si nous étions asexués. Jamais nous ne parlions de nos conquêtes féminines et jamais nous ne parlions de sexe de façon directe ou approximative. Au mois de novembre, François avait une semaine de relâche et moi pas. Il est donc retourné dans son petit patelin et moi je suis resté. Au bout de deux jours seulement, sa présence me manquait, ou plutôt le contact physique que nous avions. Il me manquait un élément dans mon environnement. À ce moment là je n'avais jamais pensé avoir du sexe avec lui, ni avec un autre homme. Dans ma tête c'était normal que nouus ne faisions qu'un, lui et moi. Je n'étais pas amoureux de lui, mais c'était plus fort que ça. Depuis que j'avais vu ses yeux la première fois je me suis senti en sécurité avec lui. Oui c'est ça ! De la sécurité. Quand nous étions ensemble, c'est comme si nous n'avions plus besoin de personne. On se complétait. Il me semble que l'appartement me semblait vide sans lui. L'idée du sexe m'est venu pendant cette semaine là. Alors que j'allais prendre ma douche, je vis une de ses paires de petite culotte par terre dans la salle de bain. Je la ramassai, son odeur me montait au nez et fit grossir mon engin. Je ne me suis pas posé de questions et je les ai enfilés. J'étais tellement excité de porter ses sous-vêtements. Ils étaient blancs et tout doux. Ils frottaiwnt mes couilles et sur ma queue bandée et dure. Je frottais et frottais, et je gémissais. En quelques minutes, j'avais souillé ses bobettes. Je les replaçais à l'endroit où je les avais prises et pris ma douche sans me poser de questions sur ce que je venais de faire. La soirée venue, je m'ennuyais de nouveau. Je suis donc allé dans sa chambre pour trouver je ne sais quoi, peut-être sa présence. Je me suis mis à fouiller. J'étais attiré par sa conception du sexe alors je me mis à chercher des indices qui prouveraient ses rapports sexuels ou encore ses branlettes quotidiennes, car comme tout le monde, il devait aussi se branler. Je trouvai une revue XXX sopus son matelas. Les pages étaient pas mal fripées. Dans un autre tiroir, je trouvai une boîte de préservatifs à moitié vide, ailleurs un film porno. Je continuais mes recherches et je finis par tomber sur quelque chose qui m'excitait au plus haut point. Au fond d'un tiroir se trouvait un vial (comme les pharmaciens nous donnes avec les médicaments) rempli à moitié de sperme. Le coquin, il recueillait son sperme. Je l'ouvris et reniflais. Il y avait là une forte odeur. J'en pris un peu sur le bout des doigts. C'était gluant. Je me déshabillais, je m'en mettais sur l'anus et je me doigtais. J'étais vraiment excité. J'entrais plusieurs doigts à la fois et allais rejoindre ma prostate pour la la caresser. Je suis alors allé chercher sa paire de bobettes dans laquelle j'étais venu le matin même dans la salle de bain. Je me suis mis ses petites culottes qui sentaient encore mieux sur ma figures et je continuais à ma doigter le derriere tout en prenant soin de palper ma prostate. J'étais au septième ciel. Je me faisais l'amour à moi-même. Et comme ça, sans me toucher, je suis venu et mes éclaboussures ont atterri sur son couvre-lit. Je m'empressais de tout nettoyer et de remettre tout en place pour aller me coucher. La semaine était déjà passée, et François allait revenir ce soir. Nul besoin de vous dire que j'avais très hâte ! Vers sept heures du soir, il ouvrit la porte et je me dirigeai vers lui. Il m'a sauté dans les bras et on s'est serrés très fort comme deux amis qui ne se sont pas vus depuis des années. Je lui ai proposé de passer une soirée tranquille et d'aller louer des films. C'est ce qu'on a fait. Et comme à l'habitude, nous nous sommes assis, collés l'un contre l'autre. On était bien. Je sentais la chaleur de son corps dont je m'étais tellement ennuyé toute la semaine. Les films se sont terminés et je suis allé me mettre en boxer avant de venir le rejoindre au salon. Lui aussi a fait de même. Il était assis là, en sous-vêtement et regardait la télé. Je l'ai observé un peu comme ça, le temps de prendre conscience de la chance que j'avais. Il était beau. Les poils de son torse qui se prolongeaient dans son slip m'attiraient. Il était très agréablement musclé. Je vins le rejoindre et m'assis encore collé à lui, nos cuisses se longeaient. Il tournait les postes de la télé sans faire trop attention à rien. Puis tout à coup, il tomba sur un film XXX. Une femme se faisait défoncer par un homme vraiment très, même trop bien amanché. Il restait sue ce programme et me regardait. Je lui dis : "Ouin, il est greillé lui ! " Il souriait et me dit : "Pauvre type !" C'est vrai qu'avec une bite de cette taille, on est plutôt mal pris. Plus on regardait les ébats, plus la bosse dans son slip grossissait. De mon côté, c'était caché par un coussin que j'avais pris pour camoufler toute éventualité ! J'osais alors lui dire : "Une chance que tu n'as pas sa bite car elle aurait tôt fait de déchirer ton slip dans l'état où tu te trouves " Il se mit à rire et aussitôt sortit sa queue des bobettes. Ça m'a vraiment saisi ! Il jouait avec et la faisait tourner dans tous les sens. C'était la première fois que je voyais la bite d'un autre, bien bandée devant mes yeux. Elle était super, non circoncise, un gland d'enfer et des couilles bien gonflées et très grosse. Elle faisait sept pouces comme la mienne... Il me faisait rire. Il m'arracha le coussin et fit semblant de lui faire l'amour en imitant les acteurs. C'était vraiment drôle, mais j'étais terriblement gêné ! JE voyais très bien ses fesses poilus bien rondes et bien rebondies. Il a bien vu que j'étais mal à l'aise et me dit de me laisser aller. "Allez, je vois bien qu'elle n'en peut plus ta queue d'être prise dans son boxer. En plus, tu vas tout mouiller. Ote-le ! " C'est ce que je fis. Je me caressais en le regardant déconner toujours avec le coussin. Nous riions beaucoup. Puis il a bien vu que j'avais le goût de me masturber. Il me demanda si ça me gênait qu'il se crosse devant moi. Je lui ai répondu qu'au point où nous étions rendu rien ne me choquait ! Alors c'est comme ça que, sur le divan du salon, nous nous somme masturbés chacun pour soi pour la première fois en nouus regardant faire. Le premier semestre venait de se terminer à l'université. Depuis ce premier incident, nous ne nous gênions plus pour prendre notre douche ou aller aux toilettes la porte ouverte. Il se promenait souvent en slip. J'aimais bien le regarder. Ses grosses couilles et sa queue étiraient le tissu. Ses fesses me tournaient la tête et son corps paraissait de plus en plus beau. Parfois je lui servais de modèle lorsqu'il étudiait son anatomie. Je me mettais nu et à plat ventre sur son lit et il me palpait le corps en entier pour percevoir mes organes ou mes vertèbres. Il me disait qu'il se trouvait choyé de pouvoir avoir des cours pratiques à la maison. Et pour la plupart des séances, il me payait avec un bon massage. Nous étions vraiment les meilleurs amis du monde. Rien de compliqué, la simplicité et le respect. Nous avons vécu de cette manière sur un statu quo pendant quelques semaines. Nous avons refait quelques fois nos séances de masturbations mais toujours chacun pour soi, jamais de contact direct. Un jour, nous avons loué un film intitulé "L'objet de ma tendresse" où il y a un rôle d'homo. A la fin du film, nous avons discuté de nos impressions sur le film. Je fus étonné lorsqu'il me dit "Tout le monde est beau dans ce film", en parlant de l'actrice et de l'acteur principal. Habituellement, lorsqu'un gars se fait demander son impression sur la beauté d'un autre gars, il répond qu'il ne peut pas dire qu'il est beau car il est lui même un gars. Moi même j'ai ce réflexe. Je lui ai alors lancé à la blague "Aurais-tu de petites tendances ?" Il pouffait de rire et m'expliquait qu'il était capable d'apprécier la beauté d'un autre gars sans sentir sa virilité menacée. Je dus céder devant lui et lui dire que je trouvais aussi l'acteur quand même charmant. Il m'avait convaincu que j'avais l'orgueil d'hétéro mal placé. A partir de ce moment, nous avons commencé à dévoiler des choses qu'on n'aurait jamais dites à personne. Par exemple, la beauté des fesses d'un certain chanteur ou les yeux charmeurs d'un copain de classe. Ce comportement était devenu normal entre nous. Nous parlions aussi souvent de l'homosexualité. Il avait une idée très ouverte à ce sujet. Plus ouverte que la mienne, même si je me croyais dépourvu de toute sorte de préjugés. Un jour, ou plutôt une certaine nuit, il vint me rejoindre dans mon lit en me disant qu'il venait de faire un affreux cauchemar. Je lui faisais une petite place et il se collait contre moi et m'enlaçait de ses bras. Nous nous sommes endormis comme ça. Je me suis réveillé avant lui et il dormait la tête sur mon torse. Je l'ai laissé dormir et l'ai observé. Je me suis mis à réfléchir à ce que j'aurais fait si un gars était venu me rejoindre dans mon lit il y a de cela un an. Il aurait du rester dans son coin.. Mais avec François, c'était différent. Encore une fois je ne sais pas pourquoi ! Il dormait sur moi. Ces nuits à deux se répétaient une à deux fois par semaine. Lorsque ce n'était pas lui qui venait c'est moi qui allais le rejoindre. Une nuit, je m'en souviens très bien, ce devait être au début mars en fin de semaine, je suis allé le rejoindre dans son lit. Comme à l'accoûtumée, je me suis collé de tout mon long contre lui et il me semble qu'il me manquait une sensation sur la peau. Oui ! Il ne portait pas de sous-vêtement. Mille questions ont alors sauté à mon esprit. Est-ce que je devais me retirer ou faire comme si de rien n'était ? Finalement, j'étais beaucoup trop bien pour me décoller de lui et je me suis endormi comme ça, sur son corps nu. Le matin venu, encore une fois c'est moi qui m'étais réveillé en premier. J'avais la tête sur son torse et je dessinais des lignes avec le bout de mes doigts autour de ses pectoraux, de son nombril, sur son ventre. Il s'est bien sûr réveillé mais n'a pas parlé. On se regardait du coin de l'oil et on ne parlait pas. Mes doigts se promenaient partout sur son devant et lui me caressait les cheveux. Je savais qu'il voulait que je descende plus bas et il savait que je le voulais aussi, mais quelque chose me retenait. Peut être encore l'orgueil de l'hétéro. Il voyait bien que j'hésitais et me dit tout bas d'une voix rassurante "Pourquoi pas, si on en a envie tous les deux... " C'était la phrase qu'il me fallait pour que je me souvienne que nouus deux nous ne faisions qu'un et qu'entre nous c'était magique. Ma main commençait donc à descendre tranquillement et à dessiner des lignes fluides sur son torse. Elle se perdait dans son poil pubien. Je jouais avec. Je voulais faire durer le moment. J'ai ensuite posé ma main entière sur son sexe. Je voulais sentir cette masse chaude dans le creux de ma main. Tranquillement, je sentais le volume de sa queue augmenter jusqu'à ce que bien naturellement elle échappe de mes doigts. Je frôlais ses couilles avec le bout de mes doigts. J'allais d'une couille à l'autre et j'ai finalement empoigné le paquet tendrement. Je suis retourné vers sa queue que je saisissais à pleine main. Elle était bonne à tenir. J'étais tellement heureux en ce moment. Je l'ai décalottée tout doucement. Il commençait déjà à mouiller, une goutte coulait sur son gland enflé. Je pris cette goutte et tentai de l'étendre sur ce gland parfait. Il me dit alors "Égoiste, tu profites de mon corps, et moi je ne peux pas profiter du tien." J'avais compris son message et je me mis en sens contraire à lui. J'avais la figure à deux pouces de sa queue et lui de même. J'ai senti une immense chaleur m'envahir lorsqu'il a pris ma queue dans sa main. Pour une des rares fois, je la sentais en bonne compagnie. Sur un coup de tête (c'est le cas de le dire), j'ai décidé de prendre son pénis dans ma bouche. Sur le coup, il a gémi un peu. J'ai posé ma langue sur son gland tout chaud et salé. Je n'aurais jamais pensé que ça pouvait goûter aussi bon une queue d'homme. Je faisais tourner ma langue autour de son gland. Il semblait vraiment aimer à en croire les sons qu'il faisait. Je me suis mis à faire des va et vient avec ma bouche et mes mains. J'alternais de rapide à lent, avec de la succion ou pas trop. J'aimais ça ! Et sans m'avertir, il me gicla tout dans la bouche et sur le visage. J'ai osé l'avaler. Le goût n'était pas trop mal, mais il demeurait une sensation bizarre de viscosité tout le long de la gorge. De son côté il n'avait jamais cessé de me masturber. Et je giclai partout sur son torse poilu. Nous nous sommes rendormis dans les bras de l'autre. Lorsque je me suis réveillé, il était là devant moi avec le plateau du déjeuner. Wow ! Il l'avait préparé por moi. Des croissants au beurre avec un chocolat chaud. Nous avons déjeuné au lit en parlant de tout et de rien et aussi de ce que l'on venait de faire. Jamais il ne nous est passé par la tête que cela pouvait être mal ou que ça pouvait être mal vu par les autres. Encore une fois, c'était naturel pour nous. Au point où nous en étions, j'osai lui demander s'il voulait bien exaucer mon rêve. J'ai ce rêve depuis que je suis tout petit : me faire sodomiser. Je commençais tranquillement à le préparer à ma question. - Tu trouves vraiment que j'ai un orgueil d'hétéro mal placé ? - Je crois plutôt que tu as un orgueil de pseudo-hétéro mal placé ! Je lui souriais. - Si je n'avais pas cet orgueil je te demanderais quelque chose d'immense - Allez, dis - Mais non, je ne peux pas. Tu dis toi même que j'ai un orgueil de pseudo-hétéro. (Je le taquinais, le faisais languir) - Disons que tu te laisses bien aller quand c'en est le temps Nous nous sommes mis à rire ! Je lui lançai alors d'un trait "Tu aimerais me sodomiser ? Moi j'aimerais que tu le fasses " Il ne fallait que ça pour qu'il s'étouffe avec une bouchée de croissant. Il me regardait droit dans les yeux et dit d'un ton très simple " Ouais ! On pourrait bien le faire" Il poussa de sa main le cabaret qui tomba par terre et vint m'embrasser à pleine bouche. Je me laissais aller; je décrochais mon orgueil ! Il s'étirait et prit un tube de lubrifiant qu'il mit sur le doigt. Il l'approcha de mon anus et me le massait doucement. Il frottait, rajoutait du lubrifiant et m'enfonçait un doigt. Lorsque mon anus se relacha, il enfonçait deux puis trois. Il alla jusqu'à ma prostate, ce qui me fit gémir. Il me dit alors "Tu crois que tu es prêt ?" Je lui répondais, semi-conscient, "Ah ! Ouiiiiiiii" Il se mit à genoux à la hauteur de mon cul. J'étais couché sur le dos et j'enroulais sa taille avec mes jambes. Il lubrifiait sa queue et la pointait vers mon orifice. L'entrée fut très bien, quoique un tout petit peu douloureuse. Il n'était entré que d'un pouce, et je me sentais déjà bien rempli. Nous nous regardions dans les yeux, fixés, absorbés par ce que l'on vivait. Avec mes talons sur ses reins, je l'attirai vers moi et il comprenait que c'était le temps de donner le grand coup. Alors d'un trait, il m'enfonça jusqu'à ce que mon cul touche son pubis et ses couilles. Je criais littéralement, je me sentais tellement plein. J'étais en extase. Si le paradis existe, j'y étais sûrement. Il se retirait tout lentement. Sa queue était presque sortie en entier alors qu'il donna un nouveau coup de rein. Je me sentais encore rempli comme auparavant, sinon plus. Au diable les voisins, je me faisais dévierger. Je jouissais complètement, à chaque fois qu'il se retirait pour rentrer de plus belle, j'avais de plus en plus de plaisir. Je hurlais à chaque coup. Je l'aidais toujours avec mes jambes. Il me les prit d'un coup et les monta sur ses épaules. Il me pénétrait maintenant avec plus de vigueur. Sa queue toute chaude entrait plus profondément dans mon cul et stimulait encore plus ma prostate. C'est comme ça qu'il a joui pour la première fois dans mon cul. Il avait tellement giclé que quand il s'est retiré, j'ai senti un grosse coulée chaude descendre le long de ma raie. Il est tombé dans mes bras, on s'est serrés très fort et je lui ai donné un baiser sur le front et dit merci. Il me retourna un "Il n'y a pas de quoi... orgueilleux ! " C'est ainsi que s'est déroulé notre première baise. Dans les mois qui ont suivi, nous avons baisé ensemble quelques fois par mois, toujours dans le respect et la normalité. Nous étions des "fuck friends". Au cours des cinq années où nous avons habité ensemble, nous ramenions quand même nos conquêtes féminines à la maison. Pendant qu'il baisait, j'étais quelque peu jaloux de la fille et quand c'est moi qui baisait, il était également jaloux de ma conquête. Mais quand même, pendant nos ébats hétéro, nous avions toujours une petite pensée pour l'autre. Ni moi ni lui n'a couché avec un autre homme depuis le début et nous ne croyons pas le faire. Nous ne sommes pas attirés par les autres gars au point de coucher avec. Entre nous, il y a des atomes crochus et c'est naturel... Commentaires: marcg2 hotmail.com

###

21 Gay Erotic Stories from Marc

Das Training Teil 1

Das Training Teil 1 (Examination for "service" part 1) Noch einmal nahm er die Seite, die er aus dem Gaymagazin ausgeschnitten hatte, zur Hand. TRAINGSLAGER FUER BODY AND DICK EINE WOCHE HARTES TRAINING IM ARMYSTYLE OHNE GRENZEN UND TABUS FUER ALLE DIE SOWOHL AUF AKTIV UND PASSIV STEHEN DAS TRAINING UMFASST: -MUSTERUNG -AUFNAHMERITUALE -EINREITEN -KRAFT- UND KAMPFSPORTTRAINIG

Das Training Teil 10

Das Training Teil 10 (Examination for "service" part 10) Kaufmann war am Büro des Kommandanten angekommen, er checkte noch einmal den Sitz seiner Uniform, klopfte an, und betrat den Raum. Der Kommandant saß an einem großen Schreibtisch. Der Offizier, der mit ihm auf Kaufmanns Stube gewesen war stand stramm neben ihm. Gerd knallte die Hacken zusammen als er vor dem Schreibtisch stand

Das Training Teil 2

Nach etwa drei ziemlich stillen Stunden, sass nur noch Jan auf der Bank. Er hatte vor Aufregung schon 10 Zigaretten geraucht, was fuer ihn als Sportler eher unueblich war. Nach weiteren 30 Minuten wurde auch er in Raum 6 zitiert. Er atmete noch ein paar mal ruhig durch, klopfte dann an und trat ein. Er betrat einen grossen, kahlen Raum, aehnlich einem Arztsprechzimmer. Zwei

Das Training Teil 3

Das Training Teil 3 (Examination for "service" part 3) Auch dieser Raum wirkte kahl und er war kleiner als der Andere. In der Mitte der Raumes stand eine Liege. Auf einem Stuhl neben der Tuer sass ein kleiner, bulliger Typ in einer weissen Hose mit weissem T-Shirt. "Leg die Papiere da auf den Tisch.", sagte der Mann in weiss und deutete auf einen Holztisch, der neben der Liege

Das Training Teil 4

Das Training Teil 4 (Examination for "service" part 4) Die Tuer zum Duschraum stand auf und Jan ging hinein und sah sich um. Es war ein voll gekachelter Raum. Gut 10 Duschen waren ueber die Waende verteilt. An der Decke, in der Mitte des Raumes war ein Flaschenzug montiert. Daneben stand ein Eimer mit einer schaumigen Bruehe aus der ein Stiel einer Buerste herausragte. Ploetzlich

Das Training Teil 5

Das Training Teil 5 (Examination for "service" part 5) Nachdem Jan den Boden des Duschraums aufgewischt, und sich abgetrocknet hatte nahm er sich eine Zigarette und rauchte sie hastig. Sein Magen schmerzte noch von dem Schlag doch seine Haut fühlte sich gut an. Er strich sich über den glatten Bauch und spürte die wellen seines Waschbrettes, während er überlegte was jetzt noch auf ihn

Das Training Teil 6

Das Training Teil 6 (Examination for "service" part 6) Der Bullige Offizier hatte die Beiden losgebunden und brachte sie in eine kleine Sporthalle die an das Gebäude der Herberge angebaut war. Hier waren auch schon die anderen vier neuen Kadetten, sie saßen auf einer Bank an der Seite Halle. Alle waren, wie Jan und Uwe nackt, kahl rasiert und ihre Haut war mehr oder weniger rot vom

Das Training Teil 7

Das Training Teil 7 (Examination for "service" part 7) Jan und die Anderen gingen wie befohlen zu ihren Obmännern. Neben Jan waren noch Jochen Meiser, Marco Schneider und Uwe Schröder, den er ja schon vom Härtetest kannte, auf einer Stube. Als alle vier bei Gerd Kaufmann angekommen waren, forderte er sie auf ihm im Laufschritt zu folgen. Durch ein Treppenhaus ging es in den ersten

Das Training Teil 8

Das Training Teil 8 (Examination for "service" part 8) Nach dem Essen hatten die Männer eine halbe Stunde Zeit auf den Vorplatz vor dem Gebäude zu gehen. Jan, Jochen und Uwe nutzten die Zeit um eine Zigarette zu rauchen. "Was machste denn so an Sport?", fragte Jochen Jan. "Drei mal die Woche Karate und Kraftraining, und Du?" "Bodybuilding, möglichst jeden Tag" "Ja das sieht man, Du

Das Training Teil 9

Das Training Teil 9 (Examination for "service" part 9) "Ihr seit ja immer noch alle steif", sagte Kaufmann während er sein Handtuch in den Spind hing, "dann werde ich euch eben anders selektieren." Er nahm einen Schlüssel aus der Hosentasche und öffnete damit die Handschellen der Männer. Während sich die vier die Handgelenke rieben fuhr er fort, "Still gestanden!", wieder knallten

Das Training, Teil 12

Das Training, Teil 12 (Examination for "service" part 12) Bauer brachte Jochen zurück auf die Stube. Ohne zu klopfen Stieß er die Tür auf und schob den geschundenen, nackten Bodybuilder in den Raum. Kaufmann war schon in der Nacht über den Vorfall und seine Folgen informiert worden und hatte seine Männer bereits vorbereitet was auf Jochen und sie alle zukam. Entsprechend gereizt

Das Training, Teil 13

Kapitel 13 Jan und seine Kameraden betrachteten ihre zerfetzten Klamotten und entschieden sich so wie sie waren auf die Stube zurück zu gehen, nackt in Sox und Boots. Auf den Weg in die Stube kamen sie an den Stuben der anderen Kadetten vorbei aus denen ein wildes Stöhnen zu hören war. Aus der letzten Stube hörte man einen Typen unter schmerzen schreien, ihm war wohl soeben das

Dernière Journée Fructueuse (1ere partie)

Dernière Journée Fructueuse (1ere partie) A Stef... C'était ma dernière journée de cours au collège. Je croyais qu'elle était pour être aussi banale que les autres, mais c'en fut tout autrement... A 8:30, j'ai débuté ma journée à la salle d'entraînement...j'ai fait mon 20 minutes de jogging comme à l'habitude et mes 40 minutes de musculation sur les appareils. Je

Die Einfuehrung

Die Einfuehrung (the introduction) Man wahr er aufgeregt, hatte der muskuloese Karatekaempfer es doch nun endlich geschafft, aufgenommen in das Landeskader des Karateverbandes. 'Nur die besten kommen hier hin' dachte sich Marc auf dem Weg zum ersten Training und jetzt stand er im Umkleideraum des Trainigslagers. Nach und nach trafen auch die anderen Maenner ein. "Ah, schon wieder

François et mon orgueil

J'ai commencé l'université en 1993 EH oui ! Je devais quitter mon petit village pour venir m'installer à Montréal. Ce n'est pas que la grande ville me faisait peur comme telle, mais je n'y connaissais personne. Je devais me trouver un appartementement en vitesse, bref me construire une petite vie en quelques jours avant que ne commencent les cours. Et c'est ce que j'ai fait les

Fünf Punkte Siegen

Fünf Punkte siegen.... Schon beim ausziehen konnten sie kaum ihre Blicke von einander lassen... seit Wochen hatten Sie auf diesen Tag gewartet. "Die Unterhose bleibt aber an", hatte Ralf gesagt, und Marc ,der Ralfs Einladung zum Gayringen gefolgt war, kam als Gast diesem Wunsch gerne nach. Zwar hätte er am liebsten endlich einen Blick auf Ralfs geilen Schwanz geworfen, aber

La Piscine...

J'adorre aller à la piscine. Depuis que je suis tout petit, j'y passe au moins trois heures par semaine, et j'ai commencé la compétition à l'age de 12 ans. Je suis grand, blond, musclé, et j'ai toujours eu beaucoup de succès auprès des filles, mais elles n'en ont jamais eu beaucoup avec moi. Et oui, je ne sais pas pourquoi, mais les seins de ces demoiselles dont parlent si souvent

La Sagesse des Photos

Un couple dans la fin de la 40e m'avait demandé d'aller garder leur maison et de prendre soins de leurs chats. N'ayant rien de prévus à faire, j'acceptai. Une fois rendu à leur maison, je m'y suis mis à mon aise et j'explorai un peu. Je remarquai sur le buffet de la cuisine, une photo de leur deux enfants. Étant bisexuel, je regardai de quoi ils avaient l'air tous les deux. Leur

Plus que je ne Souhaiterais!!

Tout a commencé alors que j'étais dans la douche seul...je me lavais bien tranquillement en pensant à tout et à rien. Deux gars sont alors arrivé dans les douches pres de moi. Les deux gars n'avaient pas des corps de super athlete mais ils était quand meme bandant... Comme il jasait ensemble, je pouvais me permettre de jetter des regards à leur queue. Les 2 faisaient 4 pouces non

Truckers--Fantasy Fulfilled!

Hi! I just have to share with you guys my latest sexual experience with a hot trucker who drove through town. I went to a local bar (not often that I usually do). Many bi-guys frequent this place. Anyway, this tall hot guy (brown hair, 35, mustache, dark boots, in tight jeans and loose shirt, showing his slightly hair chest) was standing by himself. I noticed in his jeans a slight

Zwei Kerle im Wald

Nach den letzten heissen Wochen im Büro, hatte ich es kaum mehr ausgehalten, endlich die paar Tage Urlaub zu haben. Ich wollte einfach nur raus, endlich mal meine Ruhe haben, mit Zelt und Rucksack los und keinen mehr sehen. Und das tat ich dann auch. Ich hatte mir eine nette ruhige Gegend ausgesucht, aber kein genaues Ziel. Nach einer nicht zu langen Bahnfahrt ging es weiter mit dem

###
Popular Blogs From MenOnTheNet.com

Please support our sponsors to keep MenOnTheNet.com free.

Web-02: vampire_2.0.3.07
_stories_story